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La conscience du Chinois le relie secrètement aux jours sans mémoire d’une existence embryonnaire. Elle n’a suivi qu’une voie depuis ce temps, sans rupture notable, par une suite ininterrompue de transformations dans lesquelles il reconnaît la loi de la nature, celle de l’univers. Il était lui-même cet univers avant que l’expérience de la vie lui enseigne le corps et ses limites. Des limites qu’il acceptera et qu’il multipliera même, comme des ronds dans l’eau, à la surface du tissu social. En conservant au fond de lui l’intime conviction que, malgré tout, la première impression était la bonne.
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