«Après qu’il eut tenu au peintre ce discours, Tch’eng Wang déclara que désormais on crèverait les yeux à tous les peintres et à tous les sculpteurs qui ajouteraient une forme aux formes du monde, et qu’on percerait les oreilles et couperait les mains à tous les musiciens qui ajouteraient un son aux sons du monde. Il condamna l’art sous toutes ses formes car, dit-il, l’art n’est qu’orgueil et imperfection.» Histoire vraie quoique imaginaire de Tch’eng Wang le Fou (chapitre II) |
Au risque de passer pour présomptueux et vaniteux, selon le jugement du roi Tch’eng, je présenterai dans ces pages quelques uns de mes travaux, en commençant par celui qui donne son nom à ce site — et qui le condamne —, l’Histoire vraie quoique imaginaire de Tch’eng Wang, le Fou. D’autres pages suivront, que j’ajouterai au gré du temps et de l’humeur. • SOHEIL AZZAM | |||||
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